• Inspection de I’ensemble de I’ouvrage de génie civil (barrage et ouvrages en béton associés, bâtiment, digues, dispositifs d’auscultation)
• Inspection et expertise des équipements hydrauliques
• Inspection et expertise des équipements électromécaniques (P=2 x 85 MW)
• Inspection et expertise de la ligne 150kV
• Détermination de l’état et du volume des travaux à effectuer pour permettre aux installations de fonctionner encore pendant une dizaine d’années
• Chiffrage des travaux de réhabilitation et de modernisation.
• APD du projet de réhabilitation
• Dossier de Consultation des Entreprises (DCE)
• Assistance aux client et rapport d’évaluation des offres reçue
• Supervision des travaux

• Inspection de I’ensemble de I’ouvrage de génie civil (barrage de 3 Km de long et 23 m de haut, ouvrages en béton associés, bâtiment, digues, dispositifs d’auscultation)
• Inspection et expertise des équipements hydrauliques (8 vannes clapet de 13x5m, 1 vanne secteur de 14x11m, batardeaux)
• Inspection et expertise des équipements électromécaniques (4 turbines Kaplan à axe vertical de 11,9 MW, alternateurs, contrôle commande et protections, auxiliaires électriques, 1 groupe diesel de 800kVA)
• Inspection et expertise de la ligne 150kV entre Sélingué et Bamako d’environ 140km (équipement des postes 8,66kV, 63kV et 150kV, pylônes, isolateurs, câbles de garde, mise à la terre)
• Détermination de l’état actuel et définition des travaux à effectuer pour permettre aux installations de fonctionner encore pendant une dizaine d’années
• Chiffrage des travaux de réhabilitation et de modernisation
• APD du projet de réhabilitation
• Dossier de consultation des entreprises (DCE)
• Assistance au client et rapport d’évaluation des offres reçues
• Supervision des travaux

Le barrage a été construit entre 1910 et 1913. L’eau est utilisée pour la production d’électricité.

Le projet a consisté en la reconstruction du barrage avec l’installation de nouvelles vannes (10 x 5.9 m) et d’une bouchure gonflable à l’eau sur la crête déversante de l’évacuateur de crues (H=2.5 m ; L=30 m).

Le projet vise à remettre en service et sécuriser les groupes bulbes (3 x 3,75 MW) ainsi que tous les auxiliaires et les équipements de la centrale pour leur donner un niveau de fonctionnement acceptable pour au moins 15 à 20 ans de service. L’extension de la centrale prévoit d’installer cinq groupes supplémentaires, pour atteindre une puissance de 29 MW et une production de 200 GWh/an.

Le nouveau siège social des CFL est le résultat d’un appel d’offres européen lancé en 2020, remporté par le groupement luxembourgeois d’architecture et d’urbanisme METAFORM et les bureaux d’études INCA et BOYDENS.

Le projet conserve les éléments de l’architecture des années 1950, en maintenant la structure des bâtiments situés sur la place de la gare, et en rénovant l’ensemble des façades, portées aux exigences actuelles de confort et performance.

Un nouveau bâtiment vient s’implanter le long des voies ferrées, libérant des gradins et terrasses.

Il s’articule avec les bâtiments d’origine autour d’un atrium et d’un jardin amenant la lumière en cœur d’îlot.

Un jumeau numérique du futur bâtiment créé en BIM permet outre les maquettes 3D, le suivi de l’ensemble des processus de travail tout au long de la conception, de la construction et de l’utilisation du bâtiment.

Le nouveau Bosch Cooperation Campus est synonyme de neutralité climatique et d’efficacité énergétique. Ingérop, via sa filiale IBF, a supervisé la conception des lots techniques à l’aide du BIM.

L’approvisionnement en chaleur provient d’une installation géothermique à proximité, tandis qu’une autre partie provient d’une pompe à chaleur bivalente. La capacité totale de chauffage est de plus de 4,5 MW, celle du refroidissement d’environ 6,5 MW.

Le débit d’air total de plus de 200 000 m³/h est intégré dans un système central de récupération de chaleur très efficace, avec un rendement de plus de 70 %.

Pour suivre la croissance démographique de la ville de Mombasa, prendre en compte les évolutions du climat et satisfaire aux besoins essentiels des habitants de la métropole, Ingérop a en charge d’adapter les réseaux de distribution d’eau potable et d’assainissement existants. Nous assurons ainsi la maîtrise d’œuvre complète de réhabilitation de plus de 100 km de conduites d’eau en site urbain.

Dans un contexte de forte croissance démographique, la ville de Dhaka doit faire face à une augmentation des besoins en eau potable à partir de ses eaux de surface. Ainsi, Ingérop réalise les études de conception et d’exécution (y compris en géotechnique) de tous les ouvrages en béton armé, ouvrages métalliques, et d’une passerelle métallique, pour construire une usine de production d’eau potable d’une capacité de 500 000 m3/jour.

SüdOstLink est une nouvelle ligne à très haute tension en courant continu (HVDC) qui transportera l’électricité produite par l’énergie éolienne à partir du nord et de l’est de l’Allemagne jusqu’en Bavière. C’est l’un des projets centraux d’extension du réseau issus du tournant énergétique souhaité par l’Allemagne.
Les équipes EDR assistent TenneT dans la partie bavaroise du projet :assistance à la maîtrise d’ouvrage sur le contrôle des prestataires de services et sur le management des risques/délais/qualité de la documentation technique, soutien pour les demandes d’autorisations administratives, contrôle des études géotechniques.

Dans le cadre de son développement sur l’Afrique et le Moyen-Orient, le groupe Stellantis souhaite introduire la plateforme « smart car » et doubler sa capacité de production locale sur son site de Kénitra (450 000 véhicules dont 50 000 électriques).

Son ambition : atteindre une capacité de production d’un million de véhicules par an d’ici 2030. Les équipes HPM, filiale d’Ingérop, assurent l’assistance à maîtrise d’ouvrage de l’opération (programmation, permitting et supervision de travaux).

La ligne de métro U5 existante à Munich doit être prolongée de son terminus actuel à Laimer Platz jusqu’à la gare de Pasing. Un premier
lot de travaux de tunnel, d’environ 1,2 km de long, intègre la reconstructionde la nouvelle station de métro « Willibaldstraße ». Ces travaux
souterrains, à réaliser en milieu fortement anthropisé et dans lanappe phréatique, exigent des techniques de pointe : injection des sols en jet grouting, parois moulées avec siphons et puits horizontaux, entretoises, butons… Les voies du métro seront par ailleurs isolées de la structure par un système masse-ressort + appuis élastiques permettant d’éviter vibrations et bruit solidien alentour.
Toute la conception de la structure du tunnel et de la gare a été réalisée sous modélisation BIM complète.

Le projet de ligne à grande vitesse entre Kénitra et Marrakech, au Maroc, est un projet d’envergure qui vise à poursuivre la modernisation du réseau ferroviaire marocain en prolongeant la LGV existante vers le Sud. Cette nouvelle ligne permettra de réduire considérablement les temps de parcours entre les villes de Tanger, Rabat, Casablanca et Marrakech. Elle facilitera ainsi les déplacements des populations et des marchandises, tout en contribuant au développement économique et durable du pays, dans le strict respect des enjeux environnementaux et de la qualité de vie des régions traversées. Il s’agit donc d’un projet structurant pour le Maroc, aux impacts positifs tant pour les populations que pour l’environnement.