A partir d’une concertation avec les acteurs du territoire, Acterra réalise un diagnostic de vulnérabilité des rivières martiniquaises au changement climatique. Un plan d’actions d’adaptation sera ensuite co-construit avec les partenaires locaux afin d’accompagner la Martinique dans la gestion durable des ressources et usages de l’eau en contexte de changement climatique.

Anticipant la croissance du trafic sur le réseau Nord-Pas-de-Calais qui fera suite à la mise en service du Canal Seine-Nord Europe, Ingérop doit, pour le compte de VNF, fiabiliser les implantations des sites éclusiers et la faisabilité technique de leur doublement et allongement, mais également sécuriser la gestion de la ressource en eau. Ingérop a également pour mission de définir les enveloppes financières à allouer aux différents plannings d’opération et aux différents scénarios, de proposer un schéma directeur des aménagements des écluses à l’échelle de chaque axe.

Pour suivre la croissance démographique de la ville de Mombasa, prendre en compte les évolutions du climat et satisfaire aux besoins essentiels des habitants de la métropole, Ingérop a en charge d’adapter les réseaux de distribution d’eau potable et d’assainissement existants. Nous assurons ainsi la maîtrise d’œuvre complète de réhabilitation de plus de 100 km de conduites d’eau en site urbain.

Dans un contexte de forte croissance démographique, la ville de Dhaka doit faire face à une augmentation des besoins en eau potable à partir de ses eaux de surface. Ainsi, Ingérop réalise les études de conception et d’exécution (y compris en géotechnique) de tous les ouvrages en béton armé, ouvrages métalliques, et d’une passerelle métallique, pour construire une usine de production d’eau potable d’une capacité de 500 000 m3/jour.

Dans le cadre du renforcement de la compétitivité du port d’Abidjan en Côte-d’Ivoire, Rendel (filiale d’Ingérop) – au sein du consortium APMT-Bolloré – s’est vue attribuer la maîtrise d’œuvre de la conception pour la construction du deuxième terminal à conteneurs. Ce projet est conçu pour développer des infrastructures de qualité permettant d’attirer les gros navires qui relient les côtes ouest de l’Afrique.

Suite à la crue catastrophique de 2010 et dans le cadre de notre mission, nous avons proposé un aménagement du lit de la Nartuby sur les communes de Draguignan et Trans-en-Provence, la construction d’ouvrages permettant d’assurer le transit d’une crue trentennale au droit des zones à enjeux et d’un ouvrage hydraulique pour ralentir la pointe de crue jusqu’à une période de retour de 200 ans.

Ingérop accompagne la communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez dans le projet Européen Interreg MARITIME 2014-2020 relatif à la gestion des risques naturels. Il s’agit d’exploiter les simulations de crue afin de produire des cartes d’inondation dynamiques, qui aideront les maîtres d’ouvrage à gérer les situations de crise.

Suite aux sécheresses que connaît le Cap Occidental en Afrique du Sud, Ingérop a aidé la ville de Stellenbosch à mettre en œuvre un plan de lutte contre la sécheresse. Ce plan de « réduction-réutilisation-recyclage » a été couplé avec une campagne de sensibilisation à la sécheresse. En parallèle, un programme de modernisation des installations et un programme régional de forage ont été mis en place.

Le projet a pour objectif d’aménager un tronçon de 27 km du réseau fluvial pour des péniches à grand gabarit (2 500 tonnes) sans rupture de charge. Cet aménagement permettra d’augmenter la part modale du trafic fluvial pour le transport des céréales à destination de l’Île-de-France, du port de Rouen et du futur canal Seine-Nord-Europe. Intégrée au réseau européen Natura 2000, la Bassée joue un rôle primordial dans la lutte contre les crues de la Seine et pour l’alimentation en eau potable de l’agglomération parisienne. Nous concevons, en lien avec nos partenaires, un projet conciliant contraintes de navigation, neutralité hydraulique et préservation de l’exceptionnel patrimoine écologique de la Bassée.

Situés à l’amont du réseau navigable de la Seine, les ports de Bray-sur-Seine et Nogent-sur-Seine constituent des débouchés importants pour les produits agricoles champenois. Ils souffrent toutefois d’une accessibilité fluviale limitée en raison des restrictions de gabarit sur la Seine. Le projet Bray-Nogent a pour objectif d’aménager un tronçon de 27 km du réseau fluvial afin de permettre la desserte du port de Nogent-sur-Seine par des péniches à grand gabarit (2500 Tonnes) sans rupture de charge. Cet aménagement permettra d’augmenter la part modale du trafic fluvial pour le transport des céréales du bassin champenois à destination de l’Ile-de-France, du port de Rouen et à terme des grands ports de la Mer du Nord, une fois le Canal Seine Nord Europe réalisé.

Le projet s’implante au sein d’un territoire unique en Ile-de-France : la plaine alluviale de la Bassée. Intégrée au réseau européen Natura 2000, la Bassée joue également un rôle primordial dans la lutte contre les crues du bassin de la Seine et pour l’alimentation en eau potable de l’agglomération parisienne.

« En tant que responsables des études environnementales et membres d’un groupement de maîtrise d’œuvre, nous concevons, en lien avec nos partenaires, un projet conciliant contraintes de navigation, neutralité hydraulique et préservation de l’exceptionnel patrimoine écologique de la Bassée ».

Dans le cadre d’un PAPI (Programme d’Actions de Prévention des Inon­dations), la mission d’Ingérop a eu pour objectif de définir le fonctionnement hydraulique et hydrogéomorphologique de l’ensemble du bassin versant de l’Eygoutier. Le but était de mieux connaître et donc mieux gérer le risque inondation mais aussi de proposer un programme de restauration morphologique du cours d’eau.

Un bassin de rétention d’un volume de 1 099 000 m³ en cours de construction permettra bientôt de renforcer sensiblement la protection de la ville de Mering face aux risques d’inondation. Précédé d’une digue de 720 m de longueur atteignant jusqu’à 5,25 m de hauteur, son double ouvrage de régulation piloté permet un débit de fuite maximal de 11,7 m³/s. Son intégration apporte une réponse particulièrement rigoureuse aux enjeux environnementaux. Le syndicat des eaux de Donauwörth a mandaté EDR pour l’accompagner dans la phase de réalisation de ce chantier d’envergure.

© EDR