Ingérop a été missionné par la ville de Paris pour l’accompagner en tant qu’AMO tout au long d’un dialogue compétitif qui a pour objet de choisir un maître d’œuvre, parmi quatre équipes, pour le réaménagement du grand site Tour Eiffel. Au sein d’un groupement, Ingérop analyse les propositions des candidats pour l’ensemble des thématiques techniques.
À ce titre nous participons également aux groupes de dialogues au contact des candidats.

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Vieux rêve de la métropole marseillaise, le boulevard urbain sud connecte les plages du sud de la ville à l’autoroute A50 et la rocade L2. Destiné à alléger le trafic du centre-ville et désenclaver les quartiers sud, ce premier tronçon entre l’échangeur Florian et Sainte-Marguerite est le plus complexe parce que situé dans un contexte urbain dense et constitué d’une tranchée couverte de 1 km.

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Ingérop et TVK ont apporté une solution conjointe et innovante afin de créer un projet urbain qui apporte une réponse intrinsèque au risque d’une inondation par la Garonne. Une armature d’espaces paysagers sera créée au cœur du projet, véritable poumon vert, support de la biodiversité de demain, des mobilités actives et système intégré de gestion des eaux, au service d’une réelle qualité de vie pour tous.

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La rocade du Jarret à Marseille, véritable autoroute dans la ville, a vu sa contrainte circulatoire diminuer avec l’ouverture de la rocade L2 fin 2018.

La métropole Aix-Marseille-Provence a donc voulu la requalifier en un boulevard urbain qui fait place aux modes doux et à la végétation.

Ingérop a accompagné la SPL Lyon Part-Dieu pour concevoir et mettre en place un dispositif de logistique ambitieux de livraison de l’ensemble des chantiers de réaménagement du quartier. Ce dispositif mis en service fin 2019, baptisé Reguly, produit des résultats extrêmement positifs : réduction des perturbations de la circulation générale, réduction des émissions de CO2 et forte adhésion des acteurs des chantiers en termes d’organisation et d’optimisation des livraisons.

©SPL Lyon Part-Dieu

Ce projet transforme un territoire industriel de 52 ha en un quartier répondant aux enjeux de la ville de demain : changement climatique, biodiversité, ZAN. Dès la conception, la prise en compte de la réversibilité a été intégrée. L’objectif est de concevoir un quartier pour les athlètes et pour les habitants qui viendront ensuite (l’héritage). La gestion des ressources a été au cœur de la mission d’Ingérop : réemploi, valorisation des matériaux, utilisation de la logistique fluviale.

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L’ambition de la Ville de Calais est de faire du front de mer, l’espace public majeur de la ville et d’obtenir le label “station classée”. Ce projet d’aménagement des espaces publics, comprend, sur 8,5 hectares, une gestion alternative des eaux pluviales, une gestion dynamique des places de stationnement, un belvédère en charpente métallique et bois démontable, accompagné de gradins, d’équipement de jeux et de loisirs, dont un skate parc de 3500m².

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Au cœur des ambitions de Rennes Ville Durable, ce projet réunit environnement, biodiversité et usages. Au centre-ville, les 30 ha des Prairies sont ainsi progressivement transformés en parc naturel urbain. L’enjeu est de concilier paysage, environnement, connexions avec la ville, usages récréatifs en intégrant de fortes contraintes hydrauliques et de sols pollués. Le parc comprend de nombreuses zones naturelles humides destinées à stocker les crues de l’Ille.

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Construit autour d’un pôle multimodal, reliant en tramway Saint-Julien à Genève, ce quartier offre une programmation mixte (logements, hôtel, commerces, bureaux, équipements et conciergerie). L’ambition et les objectifs bas carbone du projet, se traduisent par le recours au bois et à des matériaux biosourcés pour la construction, à la biomasse pour la fourniture d’énergie, se structure autour d’un cours d’eau renaturé et d’un parc urbain de près d’un hectare.

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La requalification du centre-ville de Marseille, qui fait suite à la semi-piétonnisation du Vieux-Port, est un projet d’envergure (41 M€ HT) qui fait la part belle aux modes actifs. De vastes zones piétonnes sécurisées et des pistes cyclables sont en cours d’aménagement. Un important programme de plantations, 300 à 500 arbres et des matériaux clairs et qualitatifs, accompagnent cette reconquête du centre-ville au bénéfice de tous les usagers.

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La ville de Garges-lès-Gonesse souhaite développer la pratique des modes actifs, notamment du vélo sur son territoire, dans un contexte urbain où le vélo occupe une place peu importante. Ingérop établit un schéma directeur visant à mailler le territoire en itinéraires cyclables, à déployer une offre de stationnement vélo et à créer des services favorisant l’usage du vélo. Document stratégique pour la commune, le Schéma directeur des liaisons douces rassemble des actions opérationnelles à mettre en œuvre avec une programmation détaillée sur les 3 premières années.

Cette opération de 40 ha, située au nord de Strasbourg transforme un ancien site hospitalier en zone d’activités destinées aux PME/PMI. Les objectifs sont ambitieux et en adéquation avec les enjeux actuels de lutte contre le réchauffement climatique et la politique ZAN : valorisation du patrimoine bâti historique, respect de la trame arborée présente ou encore mise en œuvre d’une stratégie de gestion alternative des eaux pluviales sans rejet aux réseaux existants visant à limiter sensiblement l’artificialisation des sols (par la mise en œuvre de noues paysagères.)