L’ambition de la Ville de Calais est de faire du front de mer, l’espace public majeur de la ville et d’obtenir le label “station classée”. Ce projet d’aménagement des espaces publics, comprend, sur 8,5 hectares, une gestion alternative des eaux pluviales, une gestion dynamique des places de stationnement, un belvédère en charpente métallique et bois démontable, accompagné de gradins, d’équipement de jeux et de loisirs, dont un skate parc de 3500m².

© NSC. Enterprise & NSC. / Images : Nicolas Fasquelle (Art Digital & Film)

Au cœur des ambitions de Rennes Ville Durable, ce projet réunit environnement, biodiversité et usages. Au centre-ville, les 30 ha des Prairies sont ainsi progressivement transformés en parc naturel urbain. L’enjeu est de concilier paysage, environnement, connexions avec la ville, usages récréatifs en intégrant de fortes contraintes hydrauliques et de sols pollués. Le parc comprend de nombreuses zones naturelles humides destinées à stocker les crues de l’Ille.

© agence BASE paysagiste urbaniste

Construit autour d’un pôle multimodal, reliant en tramway Saint-Julien à Genève, ce quartier offre une programmation mixte (logements, hôtel, commerces, bureaux, équipements et conciergerie). L’ambition et les objectifs bas carbone du projet, se traduisent par le recours au bois et à des matériaux biosourcés pour la construction, à la biomasse pour la fourniture d’énergie, se structure autour d’un cours d’eau renaturé et d’un parc urbain de près d’un hectare.

© AREP

La requalification du centre-ville de Marseille, qui fait suite à la semi-piétonnisation du Vieux-Port, est un projet d’envergure (41 M€ HT) qui fait la part belle aux modes actifs. De vastes zones piétonnes sécurisées et des pistes cyclables sont en cours d’aménagement. Un important programme de plantations, 300 à 500 arbres et des matériaux clairs et qualitatifs, accompagnent cette reconquête du centre-ville au bénéfice de tous les usagers.

©Tangram

La ville de Garges-lès-Gonesse souhaite développer la pratique des modes actifs, notamment du vélo sur son territoire, dans un contexte urbain où le vélo occupe une place peu importante. Ingérop établit un schéma directeur visant à mailler le territoire en itinéraires cyclables, à déployer une offre de stationnement vélo et à créer des services favorisant l’usage du vélo. Document stratégique pour la commune, le Schéma directeur des liaisons douces rassemble des actions opérationnelles à mettre en œuvre avec une programmation détaillée sur les 3 premières années.

Cette opération de 40 ha, située au nord de Strasbourg transforme un ancien site hospitalier en zone d’activités destinées aux PME/PMI. Les objectifs sont ambitieux et en adéquation avec les enjeux actuels de lutte contre le réchauffement climatique et la politique ZAN : valorisation du patrimoine bâti historique, respect de la trame arborée présente ou encore mise en œuvre d’une stratégie de gestion alternative des eaux pluviales sans rejet aux réseaux existants visant à limiter sensiblement l’artificialisation des sols (par la mise en œuvre de noues paysagères.)

Le secteur Cap Pinède – Capitaine Gèze à la limite Nord du périmètre de l’EPAEM, constitue à la fois un axe de circulation structurant Est-Ouest et un point de rencontre fort de la vie inter quartiers. Son réaménagement conjugue ainsi l’ensemble de ces usages avec pour ambition de le faire évoluer vers un nouvel axe emblématique du Nord de la Ville. Ingérop, avec ses partenaires MDP et STOA, travaillent ainsi à la conception d’un projet véritable couture urbaine faisant la part belle au végétal et aux mobilités actives.

© Michel Desvigne Paysagiste

Sur un territoire en pleine mutation (extension du stade G. Montpied, écoquartier la Grande Plaine, …) ce projet, conçu pour créer une relation ville-nature privilégiée, prévoit :
un programme de démolition et de reconstruction (résidentialisation), la création d’un parc paysager et hydraulique (zone inondable – PPRI), des infrastructures pour les futurs équipements métropolitains (piscine, extension école, salle des fêtes, ferme urbaine, parvis stade Ligue 1, ferme urbaine sur 2 ha), la renaturation du Ru de la Chaux, le renforcement des continuités douces.

© Ingérop

Au cœur d’un quartier en pleine rénovation, le réaménagement des 3,2 ha aux abords de la gare fait la part belle aux mobilités douces tout en laissant une place raisonnée à la voiture, avec notamment la mise en place de nouveaux services digitaux (éclairage et stationnement intelligents, IoT). Le parti pris paysager extrêmement fort (+ de 200 arbres plantés) valorise les berges de l’Ousse empruntées par les piétons et les vélos, et ce territoire inondable. C’est l’exemple de la complexité à l’œuvre dans les projets urbains pour relever les défis du changement climatique.

© Auteur & Photographe : Cyril Garrabos
Crédits/Copyright : Communauté d’Agglomération Pau Béarn Pyrénées

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